Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee


 
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 Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee

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Park Yong Woon

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MessageSujet: Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee   Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee EmptySam 23 Juin - 17:02

" Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? "
Song Joo Hee & Park Yong Woo

Avez-vous déjà eu l’impression que votre vie n’était qu’un enchainement d’obligations de quelconques sortes ? Des obligations qui semblaient peu à peu devenir des chaines impossibles à enlever tant ces dernières semblaient étreindre votre corps comme pour le marquer au fer rouge ? Si oui, il va de soit que vous seriez en mesure de comprendre la situation du jeune homme qu’il était. Jeune héritier d’une longue lignée de sorciers aux sangs purs, qui avait pour coutume d’engendrer un nouvel auror aux capacités exceptionnelles à chaque génération, il avait depuis sa plus tendre enfance dut vivre avec ce poids que représentait sa destinée. Une destinée qui avait été tracé pour lui, bien avant qu’il ne soit même en projet dans le vendre de sa mère. Il était donc évidant que le jeune homme connaissait que très peu le sentiment qu’était la liberté. Cette liberté qu’avait les autres, d’être ce qu’ils voulaient vraiment, de faire ce qu’ils souhaitaient sans craindre les moindres représailles et ce, allant jusqu’à faire profit bas de toutes ses convenances. Des convenances qui lui étaient tout simplement impossible de ne point respectées sans risquer de mettre en péril la respectabilité de sa famille. Une famille si hautement établi et déjà bien déjà meurtri par des affaires plus ou moins louche. Une famille qui défendait plus ou moins avec ardeur la supériorité du sang pur comparé aux autres. Il était donc évidant qu’il avait été éduqué pour être un enfant irréprochable qui n’avait nullement pour vocation de venir à l’encontre des désirs de sa famille. Pourquoi en aurait-il émit le souhait? Après tout, sa famille n’était nullement tortionnaire avec lui, on pouvait même dire qu’il s’entendait plutôt bien avec ses parents, du moins autant que leur position dans la société le permettait. Il lui était alors très rare d’afficher sa tendresse et son affection pour les personnes qu’il appréciait, plus par réserve qu’autre chose. Les démonstrations d’affection n’étaient résolument pas ancrées à sa chair et lorsqu’il se concédait à l’être, cela se produisait bien loin des regards indiscrets.

De ce fait, il était plus qu’évidant que le jeune homme était connu pour être une personne à l’apparence austère avec qui il n’était pas aisé de converser. Une réalité qu’il ne pouvait nullement nier puisque lui-même concédait être ainsi, bien trop habitué à prendre soin qu’aucune personne soit en mesure de lire à travers son esprit, ses regards et ses gestes. Les seules occasions où il se laissait quelque peu aller, c’était lorsqu’il enfourchait son balai pour montait dans les airs durant un entrainement de l’équipe de quiddich ou dans un match. Quand bien même n’était-il point une personne désagréable lorsqu’on venait à l’aborder, on ne pouvait nier que sur le terrain ou que lorsque le sujet du Quiddich était abordé, ce dernier semblait plus ouvert, moins résigné à être muet. Il lui arrivait même de passer des heures à converser avec les membres de son équipe sur des techniques qui seraient intéressantes d’être étudiées pour tenter de battre leur adversaire, comme de parler de parler des différentes équipes du monde sorcier. En gros, pour faire simple, le Quiddich était résolument le thème qui était en mesure de faire ressortir dans une certaine mesure le vrai yong woo qui somnolait en lui. Un Yong Woo beaucoup moins vaniteux qui pouvait se montrer sympathique et un poil souriant mais également avoir des réactions quelques peu enfantine. Chose que seule la capitaine de son équipe avait l’occasion d’observer depuis son arrivée au sein de cette école. Lui-même était résolument incapable de définir quel étroit lien le liait à cette dernière mais il avait résolument conscience qu’elle provoquait quelque chose en lui qui le dépassait souvent, venant mettre à péril cette facette si parfaite qu’il renvoyait de lui-même. Pourquoi ? Tout simplement parce que cette dernière se trouvait être l’une des rares personnes à avoir connaissance de son don : d’être metamorphage. Même à l’heure actuelle, les raisons de cela lui échappaient totalement, si ce n’est qu’il semblait être faible face au regard malicieux et taquin de cette dernière, qui aurait du rester qu’une simple camarade de classe. Et pourtant, il la considérait comme une rivale, une personne devant laquelle il se devait de s’imposer comme pour tenter de mettre fin à cette gêne qui l’avait habité lorsqu’elle était venue pour la première fois à sa hauteur.

D’ailleurs, peut être était-il idiot de sa part d’accorder à cette demoiselle tant d’intérêt et il en avait également conscience mais c’était ainsi depuis des années… et il n’y pouvait tout simplement rien. Dire que cette dernière était désormais la capitaine de leur équipe, un poste pour lequel ils s’étaient battus pour l’obtenir. De quoi bien mettre un coup de poing à son égo, qui en toute sincérité n’accusait toujours pas le coup… d’autant plus qu’il n’était pas toujours en accord avec les idées qu’elle mettait en place pour l’équipe. En gros de quoi bien titiller l’orgueil du jeune homme qui pestait souvent contre elle dans sa barbe lorsqu’ils se trouvaient face aux membres de leur équipe ou plus franchement en face d’elle lorsqu’ils se trouvaient seuls, face l’un à l’autre. Il ne savait pas pourquoi il était tellement sur la défensive avec cette dernière, ni même pourquoi elle arrivait si facilement à l’énerver aussi rapidement sans pour autant qu’il n’engendre à son intention une rancune qui était pourtant le lot que devait subir ceux qui osait venir blesser sa fierté. Comme à ses habitudes, il avait passé l’entrainement à marmonner dans sa barbe alors qu’il semblait tout faire de travers, n’étant résolument pas réceptif aux directives de cette dernière. Cela faisait deux ans qu’il jouait en tant que titulaire et elle trouvait qu’il n’était pas assez compétant pour savoir ce qu’il avait à faire ? Comme s’il allait l’écouter. Après tout, il savait ce qu’il devait faire, c’est donc exaspéré par le comportement autoritaire de cette dernière, qu’il vint poser le pied à terre, prenant congé comme l’aurait fait la mauvaise graine d’une équipe. Ce qui n’était pas son genre mais cette fois ci c’était trop lui en demander, elle l’exaspérait.

« Cette technique n’a pas de sens ! En tout cas, elle se fera sans moi. » Avait-il lancé dans un regard ô combien froid alors qu’il se contenait du mieux qu’il pouvait pour ne point perdre le contrôle de son être et montrait ô combien en réalité, il se trouvait irrité. Il quitta alors rapidement le terrain en continuant de marmonnait dans sa barbe des remarques quelques peu idiotes au sujet de la demoiselle alors qu’il rentrait en trombe dans les vestiaires, retirant la veste de son uniforme pour se mettre à l’aise alors qu’il sentait qu’il contractait légèrement son visage, sachant éperdument ce que cela voulait dire. Encore une fois, elle était parvenu à mettre en péril son éducation puisqu’il pouvait voir à travers le reflet de la glace que ses cheveux s’étaient teintés d’une couleur bleu nuit, signe évidant de son irritabilité. Il était d’ailleurs en train d’enlever son t-shirt lorsqu’il sentit la porte des vestiaires s’ouvrir, l’obligeant à faire face à cette femme qui était en mesure de lui faire perdre ses moyens.

« Si tu crois que tu vas être en mesure de me faire changer d’avis à ce sujet, tu risques malheureusement de perdre ton temps. Elle est stupide et les batteurs de l’autre équipe sauront facilement nous viser si on l’utilise, ça j’en suis intimement persuadé. » Avait-il lancé avec froideur alors que sans gêne, il retirait entièrement son t-shirt pour s’apprêter à prendre sa douche.

Savoir que l’autorité de la demoiselle en avait prit un coup lui importait peu. Têtu, il n’était résolument pas le genre de personne à changer d’avis facilement lorsqu’il avait décidé d’une chose. Il aurait été bien mieux comme capitaine, ça il en était intimement persuadé et il ne se privait résolument pas à lui faire comprendre.

« Franchement donner ce genre de responsabilité à une femme qu’est incapable de savoir ce qu’elle veut dans sa vie... alors la croire capable qu’elle soit en mesure de définir de bonnes techniques. N’importe quoi...tss » Marmonna-t-il entre ses dents alors qu’il attrapait sa serviette pour se rendre dans les douches.

Bien entendu, il avait dit cela assez faiblement plus par mauvaise foi qu’autre chose mais au fond, cela avait un peu de vérité. Pour preuve, la demoiselle était résolument incapable d’oublier son premier amour, celui qui l’avait laissé le cœur en miette et en plus de cela, elle était résolument incapable de passer outre. Et ça il le savait plus que quiconque…
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Song Joo Hee

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MessageSujet: Re: Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee   Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee EmptyLun 25 Juin - 15:29

Pour la millième fois depuis le matin, Joo Hee vérifiait à nouveau les tactiques qu’elle voulait introduire lors de la pratique qui aurait lieu plus tard dans la journée. Elle était étrangement anxieuse, comme si elle n’avait pas totalement confiance en ce qu’elle allait présenter à son équipe, mais elle savait que la sensation qu’elle avait venait de complètement autre chose. Après tout, c’était une bonne technique, plutôt simple, mais elle croyait fortement que ça pourrait fonctionner. Son stress venait donc d’autre chose complètement, ce n’était pas tellement étonnant à la base, elle était naturellement anxieuse et c’était encore pire depuis que Pyotr l’avait laissé. Beaucoup se demanderait pourquoi elle se préoccupait autant d’un mec, surtout considérant que ce dernier l’avait tout particulièrement blessé, mais elle n’y pouvait tout simplement rien. Sa crainte d’être abandonnée lui pourrissait la vie depuis tellement longtemps que lorsqu’elle s’était réalisée, elle ne pouvait pas s’empêcher d’y repenser constamment. C’était pour ça qu’elle avait tant de mal à faire confiance aux autres, mais là n’était pas la question pour le moment. Certes, un jour il faudrait sérieusement qu’elle planche pour arrêter d’avoir cette crainte ridicule, ce besoin des autres qui était probablement plus poussé que chez d’autres personnes. Les quelques personnes à qui elle avait fait confiance tenait très certainement sur les doigts d’une main, c’était une évidence. Pour le moment, ça n’y changerait rien, elle était capable de se montrer confiante même quand elle ne l’était pas du tout, ce n’était donc pas le problème principal de la journée, il fallait simplement qu’elle ne se laisse pas abattre avant de s’y rendre.
Le problème résidait en fait en la personne de Park Yong Woon, son rival. C’était une longue histoire, histoire à laquelle elle n’avait clairement pas besoin de penser en ce moment. Toujours en est-il que le jeune homme pourrait être considéré comme étant ‘le mouton noir’ de l’équipe, à croire qu’il était jaloux que ce soit elle qui aie eu la place de capitaine. Si ce n’était que ça, tant pis pour son égo surdimensionné, elle n’allait tout de même pas lui laisser la place. Sauf que voilà, il n’était ni coopératif, ni respectueux, à s’opposer à ce qu’elle avançait en marmonnant dans sa barbe ou en l’affrontant directement lorsqu’ils étaient seuls. Si elle savait pertinemment qu’elle avait tout au moins l’appui de Chloé dans l’équipe de Quidditch, elle ne voulait pas perdre le respect des autres à cause que monsieur le souhaitait par pure crise d’égo. En soit Joo Hee était loin d’être tendre à l’intention de Yong Woon, sans de raison particulière, mais elle ne pouvait pas comprendre pourquoi il compliquait toujours autant les choses et c’était frustrant pour elle. Dans tous les cas, ils se valaient probablement bien l’un à l’autre dans le genre que ça engendrait des tensions assez souvent entre les deux. Le côté positif, c’est que le changement de couleur dans la chevelure finissait toujours par détendre la demoiselle, ce qu’elle se garderait bien de lui dire tout de même ! Elle trouvait fascinant qu’il soit métamorphomage, une autre chose chose qu’elle se garderait bien de lui dire.

Bref, ce n’était pas tellement important, elle devait l’oublier pour ne pas être totalement trop stressée une fois devant l’équipe. Elle s’occuperait de lui en temps et lieu, s’il ne se gênait pas pour lui faire savoir son point de vue, encore une fois. Un soupir traversa ses lèvres alors qu’elle enfilait sa tenue de quidditch et attrapa son balais pour se rendre sur le terrain. Elle était en avance, mais les autres ne tardèrent pas à arriver. Elle était contente de voir Chloé avec qui elle s’entendait particulièrement bien, mais elle sourit joyeusement en voyant les autres. Seul Yong Woon ne décrocha pas un immense sourire des lèvres de Joo Hee. Certains pourraient croire qu’elle le détestait profondément, mais c’était beaucoup plus complexe que ça. Elle ne s’attarderait pourtant pas à essayer de comprendre ce qui la liait à lui ou encore pourquoi est-ce qu’il arrivait à autant l’énerver. À la place, elle décida de débuter la pratique. Ça se déroula relativement bien, l’anxiété disparaissant avec le temps, ce qui ne pouvait qu’être une bonne chose au final. Du moins, tout allait bien jusqu’à ce que Yong Woon décide de descendre de son balais et lança : « Cette technique n’a pas de sens ! En tout cas, elle se fera sans moi. » Elle fronça les sourcils automatiquement, retenant de lui répondre bêtement ou de dire quelque chose d'inapproprié. Le plus important, c’était de bien réagir, limiter les dégâts faits à son autorité. Pas que c’était sa plus grande priorité en tout temps, elle n’avait pas envie de jouer la dictatrice dans l’équipe, même si c’était souvent ce qu’elle finissait par faire par rapport au jeune homme. Un soupir traversa à nouveau ses lèvres avant qu’elle se retournait vers l’équipe pour proposer : « Si vous voulez pratiquer la technique pendant que je m’occupe de Yong Woon... Sinon, l’entrainement va être libre pour aujourd’hui. » Elle n’avait pratiquement rien à faire de comment ils allaient s’occuper elle leur faisait confiance, Joo Hee lança néanmoins un regard entendu à Chloé pour lui demander de limiter les allées et venues dans le vestiaire, puisqu’elle allait devoir confronter le jeune homme et ce ne serait pas nécessairement très beau. Puis, à quelque part, elle voulait tout de même protéger son secret, comme quoi elle ne le détestait pas vraiment au final.

À peine était-elle entrée dans les vestiaires qu’elle fut accueillie froidement par Yong Woon : « Si tu crois que tu vas être en mesure de me faire changer d’avis à ce sujet, tu risques malheureusement de perdre ton temps. Elle est stupide et les batteurs de l’autre équipe sauront facilement nous viser si on l’utilise, ça j’en suis intimement persuadé. » Vraiment, il allait directement lui dire ça ? Cette fois elle ne se gêna pas pour soupirer bruyamment avant de répondre, tout aussi froidement qu’elle avait été accueillie : « Je ne cherche pas à te convaincre, limite je pourrais moins perdre mon temps en cherchant quelqu’un qui va appliquer la technique au lieu de chercher à préserver son égo. » Elle bluffait, c’était évident qu’elle ne chercherait jamais à remplacer Yong Woon au sein de l’équipe, elle n’était même pas certaine d’en avoir complètement le droit de toute façon. Cela dit, elle cherchait à le piquer au vif et elle utiliserait toutes les techniques possibles. « Néanmoins on voit la confiance que tu portes en nos propres batteurs... » Comme si elle pouvait vraiment parler de confiance en qui que ce soit... Enfin, ce n’était pas important, elle voulait juste le forcer à réagir, pas que ça allait vraiment l’aider à accomplir quoi que ce soit, mais bon. Elle attendait patiemment lorsque Yong Woon lança le premier couteau : « Franchement donner ce genre de responsabilité à une femme qu’est incapable de savoir ce qu’elle veut dans sa vie... alors la croire capable qu’elle soit en mesure de définir de bonnes techniques. N’importe quoi...tss » Joo Hee se mordit violemment la lèvre pour retenir toute réaction qui la ferait paraitre comme faible. C’était une corde sensible et elle ne supporterait clairement pas qu’il répète ce genre de chose. Sachant très bien qu’elle finirait par avoir les larmes aux yeux si ça continuait sur ce terrain, mais trop têtue pour abandonner à cause d’une réplique, elle s’avança pour lui saisir l’avant-bras, le forçant ainsi à s’arrêter. « Parce que tu te crois meilleur que moi ? Je ne suis pas la marionnette de mes parents au moins, moi. » Chose à savoir, quand Joo Hee était blessée, elle avait tendance à dire des choses qu’elle ne pensait pas, elle savait pertinemment que Yong Woon n’était pas que l’héritier de sa famille sans rien d’autres. Du moins elle apprenait à le remarquer davantage, puis il venait tout gâcher en agissant comme ça, oui c’était un peu ce qu’elle pensait. « Puis en quoi ma vie personnelle a un rapport avec tout ça. D’abord, ça ne te concerne pas du tout. » Le ton de sa voix tremblait un peu, c’était idiot à quel point ça l’affectait, mais de nature, elle n’était pas habituée à ce qu’on embarque sa vie privée - pas terrible mentionnons-le, dans une conversation. Encore heureux, elle n’était pas au courant qu’elle avait pleuré dans les bras du jeune homme lorsqu’elle avait rompu avec Pyotr, là ce serait bien le bout.
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MessageSujet: Re: Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee   Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee EmptyMar 26 Juin - 11:38

En toute sincérité, le jeune homme ne comprenait nullement pourquoi il en venait toujours à perdre son calme si légendaire lorsqu’il se trouvait confronté à cette jeune femme qu’était Joo Hee. Pourtant, elle n’avait rien de particulier qui la différenciait des autres personnes de son entourage. Elle ne lui était pas particulièrement proche, il ne la connaissait pour ainsi dire que très peu. Ils n’étaient pas amis, tout juste camarade de classe et partenaires de Quiddich alors pourquoi cela l’irritait-il autant que de se retrouver face à elle, lui parler ? Telle était la question. Une question sur laquelle il ne s’arrêtait jamais trop longtemps, comme si la réponse pouvait peut être mettre en péril l’équilibre de son existence actuelle. Une chose dont il était sur, c’est qu’ils s’entendaient comme chien et chat et si ils en étaient là, c’est uniquement à cause d’elle. C’était elle qui était venu à lui la première fois, elle qui avait dans une certaine mesure froissé son orgueil en venant le surprendre de façon si peu loyal. Lui, qui s’était toujours trouvé si fier de sa capacité naturelle à ne rien laisser transparaitre avait perdu toute dignité face à elle. Se rendait-elle au moins compte ô combien cela pouvait être blessant qu’une différence génétique fasse de nous le pantin de nos émotions et ce à la vue de tous ? Non, bien sur que non, que pouvait-elle en savoir après tout ? Cela n’avait point de sens à ses yeux. Peut être même était-ce quelque chose d’incroyable ? Seulement, cela ne l’était pas à ses yeux. A cause de cette différence, il avait du apprendre à être quelqu’un qui était à la fois une facette de sa personne sans pour autant l’être totalement. Un peu comme s’il était une facette d’un galion avec un côté pile et un côté face.

Puis, soyons honnête il puisait dans cette austérité qu’était la sienne, une certaine plénitude d’esprit. Une tranquillité d’esprit qui faisait qu’il pouvait trier les gens sur le volet, avoir les connaissances nécessaires pour déceler si oui ou non ces derniers étaient dignes de confiance et de son amitié. Autant dire que dans l’état des faits, il possédait un nombre assez restreint d’amis et cela ne le dérangeait point, la solitude lui était salvatrice depuis sa plus tendre enfance. Il n’avait pas peur d’être seul, voir même de finir seul. La seule inquiétude réelle qu’il possédait, était que les gens qu’il estimait, aimé soient dans des situations dans lesquelles ils souffraient. L’empathie qu’il possédait depuis sa plus tendre enfance était alors mise à dure épreuve que dans ce fait. Si les gens autour de lui souffrait, il avait mal également et ce d’autant plus si cette personne lui était si chère. De ce fait, le jeune homme avait du mal à supporter que ces proches se laissent abattre, guidé par leurs émotions. Il avait souvent du mal à garder son sang froid que dans ces cas là et Yui en était la preuve parfaite. La tragédie à laquelle elle avait du faire face était telle qu’il en avait souffert bien plus pour elle que pour le coup quelque peu fatal que cette dernière avait porté au sein de leur famille. Il avait alors eu pour mécanisme de la protéger comme on veille sur la huitième merveille du monde, il en était même à venir cracher au visage de certains membres de sa famille qui avait eu le culot d’avouer devant elle, qu’ils pensaient sincèrement ses parents capables du crime qu’on les avait accusés. Il n’avait pas eu besoin de la regarder pour comprendre les sévices mentaux qu’elle venait d’encaisser.

Alors, il est vrai qu’il ne comprenait pas pourquoi Joo Hee l’irritait dans sa façon de se comporter comme si elle était la meilleure amie de tous alors qu’elle n’était nullement en mesure de donner sa confiance à autrui. Tout comme le don qu’elle avait de vouloir oublier son premier amour dans les bras d’autres hommes sans leur donner une chance de remplacer cet homme qui l’avait abandonné à son triste sort sans égard. Il ne comprenait pas les raisons qui faisaient qu’elle s’attachait tellement à ce premier amour qui n’avait plus de raison d’être. Si elle avait été son amie, sans aucun doute lui aurait-il déjà dit ses quatre vérités, il lui aurait fait comprendre qu’elle ne ferait que souffrir si elle continuait éperdument à se fermer ainsi. Peut être que ses mots, il les aurait dites avec tendresse en la prenant dans ses bras comme il le faisait avec sa cousine ou avec celles qu’il considérait comme des amies importantes dans sa vie. Seulement, une fois de plus, ce n’était pas le cas, elle n’était rien de cette sorte et pourtant encore il ne pouvait s’empêcher de ressentir le désir de lui ouvrir les yeux pour qu’elle avance, sorte de cette léthargie dans laquelle elle se trouvait, faisant totalement abstraction du fait, qu’il ne valait pas mieux de son côté en se fermant ainsi à autrui dans une certaine mesure.

Seulement en même temps cette situation le déstabiliser car si c’était le cas, cela voulait peut être dire qu’il l’appréciait et dans une certaine mesure, sa vanité n’était disposée à accepter cela. Ainsi, il n’avait pu s’empêcher de l’attaquer encore une fois, comme toujours alors qu’elle venait juste de pénétrer dans les lieux. Comme à son habitude, la demoiselle ne perdit pas plus de temps pour lui répondre dans un ton tout aussi froid qu’il venait de le faire, ponctuant ses mots par un soupir bruyant qui démontrait tout autant l’irritabilité qui l’habitait. Elle lui lança donc qu’elle ne cherchait nullement à le convaincre, qu’elle pourrait limite moins perdre son temps en cherchant quelqu’un qui va appliquer la technique ci nommée au lieu de chercher à préserver son égo. Ces mots eurent le don de l’irriter encore plus alors qu’il soupirait encore plus exaspéré. Si elle voulait le faire, elle le pouvait, il n’allait nullement l’en préserver. Mais, il savait tout autant qu’elle qu’il était un bon élément de l’équipe et que sans aucun doute celle-ci compatirait de son absence dans une certaine mesure. Elle ajouta qu’elle notait la « non confiance » qu’il avait envers leurs batteurs. Cette remarque eut le don de le faire rire jaune quelques secondes. C’était elle qui lui disait cela ? Elle qui ne faisait que papillonner de personne en personne pour ne pas avoir la sensation d’être seule ? Elle avait beau jouer la fille hyper amicale, il n’en restait pas moins qu’au fond elle était toute aussi fermée que lui mais pour des raisons bien différentes.

Piqué à vif et d’autant plus connu pour sa franchise qui pouvait en décontenancé plus d’un, il ne pu s’empêcher de lui lancer de façon dissimulée ses quatre vérités. Il avait conscience que ces mots allaient sans doute la chambouler, qu’elle allait sans aucun doute possible se mettre en colère mais celui lui importait peu, après tout, c’était elle qui arrivait à le faire sortir de ses gongs alors pourquoi pas lui rendre la pareille ? Ses paroles eurent un effet immédiat chez la jeune femme qui se mordit violemment la lèvre comme pour se contenir, il la vit s’avancer à lui pour lui saisir l’avant bras pour l’empêcher de se rendre dans les douche dans lesquelles il était prêt à rentrer. Elle lui demanda s’il se croyait meilleur qu’elle. Si oui, elle au moins elle n’était pas la marionnette de ses parents. Peut être était-ce le cas aux yeux des autres mais jamais il n’avait eu la sensation d’être une marionnette. S’il avait accepté de se fiancer à une femme qu’il n’aimait pas, c’était parce qu’il était de coutume dans cette famille d’agir de la sorte. Loyal envers sa famille, il n’avait nullement eu l’intention d’aller à l’encontre de leur désir, ni même ressenti le désir. A cette remarque il ne dit mot, la laissant poursuivre dans un ton plus tremblant que sa vie personnelle n’avait pas de rapport avec tout ça et que de toute façon ça ne le concernait pas.

A ces mots, il soupira à son tour, déposant son regard de marbre sur elle, qui perdait peu à peu contenance, comme lui auparavant. Il la visa longuement alors qu’il semblait peu à peu reprendre son calme, sentant même ses cheveux regagner leur couleur d’origine.

« Tout nos actes, nos gestes et nos mots ont un réel sens. Peut être qu’à tes yeux ta vie personnelle est détachée de ta façon de diriger cette équipe mais ce n’est pas le cas… Cette technique te ressemble en tout point. Tu comptes donner l’impression qu’on forme une équipe soudée qui en confiance en l’autre mais en réalité ce n’est pas le cas et nos adversaires le découvriront bien rapidement. Après tout, tu es comme ça, tu ne fais pas confiance, tu papillonnes de personne en personne en donnant l’impression que tu es amie avec tout le monde, mais ce n’est pas le cas. Tout n’est que mensonge. » Commença-t-il froidement dans cette voix qui cette fois ci se trouvait être si calme.

« Si je me sens supérieur à toi ? Nullement. Je me sens juste chanceux de ne pas être à ce point effrayé de finir seul et de me mentir à moi-même. Si tu veux croire que tout va bien dans ta vie, continue de te voiler la face mais ça ne m’empêchera pas de savoir ce qu’il en est vraiment. Si toi, tu ne peux pas faire confiance aux autres, moi je ne peux pas faire confiance en un capitaine qui ne sait même pas ce qu’il veut. C’est tout. »

Il avait dit tout cela sans réfléchir une seule seconde aux conséquences de ces derniers. Il n’en avait au fond que peu faire, elle voulait des réponses, il lui en avait donné, maintenant ce qu’elle pouvait éprouvait à ces derniers, ne concernait que cette dernière mais bien entendu, tout ceci n’était rien comparé à cette légère culpabilité qui naissait dans son ventre peu à peu, terrible fardeau de sa bienveillance naturelle.
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MessageSujet: Re: Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee   Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee EmptyJeu 28 Juin - 23:44

Effectivement, Joo Hee ne réaliserait peut-être à quel point le don de Yong Woon pouvait être dur pour lui. D’abord parce que ça l’arrangeait bien cette particularité au final, elle pouvait voir ce qu’il pensait réellement d’une certaine manière. L’austérité dont il faisait preuve l’énervait tout particulièrement, parce que même en mettant une distance entre elle et les gens, elle restait plus amicale que lui. Certes, dans son cas à elle, c’était faux, un mensonge en quelque sorte, mais un mensonge sympathique au moins. Enfin, au moins, elle pouvait voir si elle l’énervait ou le gênait en fonction de ses réactions qu’il ne pouvait pas maitriser, c’était amusant, même tout particulièrement plaisant pour elle. C’était elle qui avait commencé ce jeu de chat et chien, elle en était totalement conscience. Parfois elle le regrettait, parfois elle se demandait bien pourquoi elle avait décidé de faire ça. Sans tous les cas, ça ne changerait rien à la présente situation, même si parfois elle savait qu’elle pousserait trop loin et qu’elle allait amèrement le regretter. Cela dit, ça ne l’empêcherait pourtant pas de continuer, elle était devenue douée pour regretter les choses qu’elle faisait, regretter des bons moments, regretter des gens. Bref, pour cela, il aurait peut-être été bien qu’elle ait l’austérité du jeune homme ça lui aurait probablement fait du bien dans sa jeunesse, comme maintenant. Peut-être n’aurait-elle pas autant souffert de sa rupture avec Pyotr si elle n’avait pas été ce qu’elle est, même que c’était pratiquement certain. Cela dit, elle ne connaissait pratiquement rien du jeune homme alors elle s’avançait beaucoup dans ses théories, pas qu’elle les dirait à voix haute un de ses jours, mais bon. Puis de toute façon, elle doutait de le connaitre suffisamment un jour pour que ça vaille la peine de penser plus sérieusement ses théories. Déjà qu’elle ne voyait pas tellement d’intérêt à réfléchir sur des questions qui le concernait, pourquoi chercher à le connaitre un jour. Il ne devait pas en avoir davantage envie qu’elle, parce que même si elle ne le détestait pas elle n’en avait tout simplement pas envie. Que ce soit parce qu’elle craignait de trouver mieux qu’elle s’imaginait à la base ou parce qu’elle craignait tout bonnement qu’il était totalement meilleur qu’elle, ce n’était pas tellement important.

Pour ce qui était de son propre comportement... Elle n’en était pas fière, loin de là, il ne fallait pas penser que c’était un passe-temps plaisant ou qu’elle appréciait forcément mettre une distance entre elle et les autres. C’était pour se protéger, éviter de se faire blesser comme lorsque son père était parti ou encore lorsque Pyotr l’avait laissé. Elle vivait dans sa bulle et elle faisait de son mieux pour ne pas en ressortir. Après tout, le moins elle se rapprochait des autres, le moins elle risquait de se faire blesser, c’était idiot comme logique, mais il fallait s’attendre à ça de la part de Joo Hee. Surtout considérant à quel point elle n’était pas capable d’oublier Pyotr, mais ça elle n’en était tout particulièrement pas fière. Il fallait dire qu’elle avait été davantage blessée par le manque de confiance dont il avait fait preuve envers elle, elle qui avait fait l’effort de passer ses réticences naturelles et de lui faire pleinement confiance. Certes, même à ça elle restait mal placée pour ce genre de chose, elle ne pouvait pas demander aux gens de lui faire confiance si elle-même ne le faisait pas. Pourtant sans même lui faire confiance, il aurait pu leur laisser une chance de fonctionner, même avec sa nouvelle nature de loup-garou. Maintenant elle ne pouvait que regretter, mais pourtant, c’était parfaitement ce qui la bloquait à permettre à une autre personne d’aller plus loin que son lit. C’était une peur profonde qui lui gâchait la vie, elle n’était tout simplement pas à l’aise à montrer plus d’elle-même, à laisser les autres entrer dans sa vie. Le fait qu’elle craignait de se faire blesser était une excuse plus qu’autre chose, même si c’était la vérité.
Dans tous les cas, elle ne pouvait pas comprendre pourquoi il était énervé par son comportement, même si elle l’était par le sien. Vraisemblablement, ils ne se comprenaient pas et c’était bloqué ainsi tant qu’ils ne feraient pas un effort de changer les choses. Ce qu’ils ne feraient pas de sitôt considérant comme il l’avait attaqué dès qu’elle était entrée dans la pièce. Déjà qu’elle ne venait pas avec l’idée de faire la paix, ça n’aidait en rien les choses. Elle lui répondit automatiquement de la même manière qu’il lui avait adressé la parole. Elle le menaça même à moitié de le remplacer au sein de l’équipe. Bien sur, ils savaient bien tous les deux que ça n’arriverait pas, il était un aspect important de l’équipe et au final... elle le respectait bien trop pour faire ça. Enfin, elle ravala ce détail très loin et se contenta d’ajouter un autre commentaire, puis un autre. Joo Hee tenait vraiment à tenir sa vie privé loin des autres et pourtant Yong Woon faisait comme si ça le concernait ce qui l’énervait tout particulièrement. Elle ne voulait pas de lui dans sa vie, elle ne voulait pas qu’il se mêle de ce qui ne le regarde pas. Tout comme elle ne voulait pas que les autres le fassent.

Cela dit, ça n’empêche en rien le jeune homme de lui répondre rapidement, visiblement énervé par elle. Il commença par critiquer la technique, lui montrant qu’elle était ‘comme elle’ ce que la capitaine ne pouvait pas tellement nier. Elle se contenta donc de garder le silence, serra le poing pour ne pas serrer la main qui tenait encore l’avant-bras de Yong Woon alors que ce dernier continuait : « Après tout, tu es comme ça, tu ne fais pas confiance, tu papillonnes de personne en personne en donnant l’impression que tu es amie avec tout le monde, mais ce n’est pas le cas. Tout n’est que mensonge. Si je me sens supérieur à toi ? Nullement. Je me sens juste chanceux de ne pas être à ce point effrayé de finir seul et de me mentir à moi-même. Si tu veux croire que tout va bien dans ta vie, continue de te voiler la face mais ça ne m’empêchera pas de savoir ce qu’il en est vraiment. Si toi, tu ne peux pas faire confiance aux autres, moi je ne peux pas faire confiance en un capitaine qui ne sait même pas ce qu’il veut. C’est tout. » Elle avait beau tenter de se contenir, elle ne put s’empêcher de lâcher le bras du jeune homme. Elle n’avait pas peur d’être seule, elle avait peur de se faire abandonner. Au moins si elle avait été seule depuis le début, elle ne se serait pas fait blessée. « Tu crois vraiment me connaitre, je suis un livre ouvert pour toi ou quoi ? » Elle devait se retenir, elle ne devait pas pleurer, elle ne devait pas le frapper, mais elle ne pouvait pas non plus partir comme ça. « Vraiment, tu ne me connais pas, alors arrête de faire comme si c’était le cas. Ma vie n’est pas qu’un mensonge et il y a des gens en qui j’ai confiance alors... » Sa voix commençait à s’effacer et elle le sentait très bien. En partie parce qu’elle savait qu’il n’avait pas tord. Elle était consciente que sa vie n’allait pas si bien, mais elle ne voulait pas y penser, elle ne voulait pas non plus penser à Pyotr, surtout pas à lui... Elle baissa un peu le regard, craignant de ne pas pouvoir tenir bien longtemps sans avoir les larmes aux yeux. Normalement, elle était plus forte que ça, mais elle commençait à vraiment avoir du mal à tenir comme si tout tombait en même temps ; une lettre de son père, une discussion avec Pyotr et maintenant Yong Woon qui lui tombait dessus. « Puis, je sais ce que je veux alors fiche moi la paix. » Elle n’était ni convaincante, ni même convaincue, mais rendu là elle s’en fichait. Elle voulait simplement aller mieux, oublier Pyotr, que le jeune homme arrête de lui rendre la vie si difficile et pourtant elle n’arrivait à rien, elle n’arrivait même pas à en vouloir au Mudrist. Rien. Finalement après un moment elle finit par lâcher : « Tu te permets de me juger, mais au final tu ne fais pas plus confiance aux autres que moi. Tout comme toi tu es fermé. » Elle soulevait ce point en espérant qu’il la lâcherait, même s’il faudrait sans doute qu’elle prenne un peu plus d’assurance pour lui répondre comme d’habitude...
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MessageSujet: Re: Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee   Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee EmptyMar 17 Juil - 21:57

La franchise était résolument un trait de caractère difficilement gérable. Tandis que dans certaines occasions, ce denier se trouvait être une vertu, tant la vérité était nécessaire d’être connue, dans d’autres cas, cela se révélait être un défaut. Un défaut d’une telle ampleur qu’il arrivait parfois que les conséquences de cette vérité révélée, dévastent tout sur leur passage. Il en avait payé parfois les frais au cours de sa courte existence, il avait été de nombreuses fois réprimandé pour cela mais cela n’avait pas pour autant modifier son caractère quelque peu complexe qu’il possédait. En effet et sans aucun doute malheureusement pour les gens qui avaient à faire face à ce trait de caractère assez embarrassant du jeune homme, Yong Woo faisait parti de ces êtres qui pensaient que la vérité, toute quel qu’elle fut se devait d’être dite. Il considérait que tout le monde avait droit à la vérité et étrangement le jeune homme était résolument quelqu’un qui acceptait bien humblement la franchise venant d’autrui. Il lui était pour ainsi dit rare qu’il ne s’énerve ou ne marque son irritation lorsqu’une personne lui faisait part de sa froideur, de son égoïsme et même parfois de sa méchanceté. Il aurait été idiot de le nier alors que lui-même avait pleinement conscience qu’il ne possédait aucun artifice quelconque qui pouvait le montrer agréable avec qui que ce soit. Il n’y pouvait rien, c’est ainsi qu’on l’avait éduqué et cela ne venait nullement l’en inquiéter. Pourquoi ? Tout simplement parce que ceux qui le jugeait sur cela, ne méritait en aucun cas de faire parti du cercle très fermé de ses amis. Des amis qu’il considérait comme des membres de sa famille à part entière sur qui il veillait avec minutie. Qui pourrait songer qu’en réalité derrière ce visage si impassible du jeune homme se trouvait quelqu’un de particulièrement attentif à la détresse d’autrui ? Personne et cela lui convenait aisément.

Ainsi, il avouait pleinement qu’il n’était pas un homme qui avait souvent tendance à réfléchir à deux fois pour traiter sur un sujet. Quand bien même n’était-il pas un des premiers à chercher les embrouilles ou d’aborder le sujet épineux en question, il ne se défilait pas, si on souhaitait entendre sa façon de penser sur quoique ce soit il s’exécutait. Enfin en présence de certaines personnes… c'est-à-dire très peu. En temps normal, il ne cherchait nullement à s’exprimer. Lorsque quelque chose l’irritait, il l’ignorait, passer outre comme si cette chose n’existait pas. Si c’était un camarade, il évitait de fréquenter les mêmes endroits que lui. Si c’était un professeur, il écoutait sans réellement relever le livre de son bouquin. Si c’était un endroit, il faisait tout pour ne point s’y rendre. En fait, il ne cherchait jamais la confrontation avec ce qui lui déplaisait. La logique aurait voulu alors qu’il ignore Joo Hee encore plus intimement que ses autres camarades…mais le hic résidait dans ce fait : il en était incapable. Tel un boulet qu’on traine à ses pieds ou à bout de bras, elle lui était rattachée quand bien même aurait-il souhaité que cela ne soit point le cas. Les raisons lui étaient si nébuleuses et à la fois si problématiques qu’il prenait un malin plaisir à les éviter comme si cela pouvait l’aider à ne point se consacrer au cas de cette demoiselle, qui se trouvait être sa capitaine.

Orgueil de sa part ? Sans aucun doute, il était assez vaniteux pour ne pas se sentir pleinement satisfait d’être ainsi concerné par le cas de sa partenaire qui se tenait devant lui mais c’était résolument plus fort que lui et les mots qu’il venait de prononcer en était la preuve parfait. Regrettait-il de les avoir prononcés ? Pas vraiment, il n’était pas homme à regretter quoique ce soit mais il n’en était pas non plus ravi. Il ne cherchait pas réellement à la blesser qu’importe si c’était l’impression qu’il en renvoyait. Il souhaitait juste dans une certaine mesure que la demoiselle reprenne totalement possession de ses sens et de l’être qu’elle était en réalité. Après tout était-elle heureuse de vivre dans ce déni d’elle-même où elle s’intimait de s’attacher que faiblement à autrui. Faisait-elle partie de ses personnes qui avaient peur de finir seule, abandonnée de tous, si vide de sens ? Sans aucun doute, il en était même intimement persuadé mais il ne considérait en aucun cas le choix de cette dernière comme étant la solution la plus convenable à son problème. En agissant de la sorte, elle finirait par tous les cas par finir seule. Quand on fuit les autres, quand on ne leur fait pas pleinement conscience, il arrive un point où ses êtres qui étaient proches de nous finissent par disparaitre de notre champ de vision sans même qu’on en prenne conscience. Le danger résidait dans ce point et il souhaitait… ou du moins peut être n’était-ce pas le terme le plus adéquate, qu’elle en prenne conscience.

Il savait que ses mots avaient eu un impact sur la jeune femme qui avait de plus en plus de mal à contenir son visage ferme et téméraire. Au fond de ses paupières, il pouvait voir la fébrilité dans laquelle elle se trouvait et inconsciemment, il n’y était pas insensible tant la blesser ne faisait pas réellement parti de ses attentions… ou du moins si… mais étrangement cela l’embarrassait désormais. Complexe, n’est ce pas ? Sans aucun doute, leur relation se basait essentiellement sur ce point depuis des années. Ils ne se haïssaient pas et pourtant tout portait à le croire. Une curieuse situation qui n’avait ni queue, ni tête mais qui était pourtant leur et qui risquait sans aucun doute de le rester. C’est ainsi qu’il la vit relâcher son bras alors qu’elle lui lançait dans une voix sévère mais ô fébrile s’il pensait vraiment la connaitre au point qu’elle n’était qu’un livre ouvert pour lui ? Que pouvait-il lui répondre ? Il ne le savait point et il ne chercha nullement à le faire alors qu’elle poursuivait en disant qu’il ne la connaissait pas alors qu’il fallait qu’il arrête de faire comme si c’était le cas. Elle murmurait que sa vie n’était pas qu’un mensonge et qu’il y avait des gens en qui elle avait confiance alors… sa voix se mua dans un silence résolument dérangeant pour le jeune homme qui la voyait baiser le regard, comme pour tenter de cacher des larmes… des larmes qu’il n’avait point cherché consciemment à faire apparaitre alors qu’il l’avait aidé une fois à les apaiser dans un passé qui n’était pas si lointain. Un silence durant lequel il releva son regard de cette dernière résolument mal à l’aise quand bien même n’en donnait-il nullement l’impression. Son expression toujours aussi neutre, sa gêne ne vint nullement colorer ses cheveux et rendre visible ce fait alors qu’elle s’exclamait enfin qu’elle savait ce qu’elle voulait alors qu’il lui fiche la paix. A cette remarque il haussa simplement un sourcil quelque peu intrigué par sa vive réaction alors qu’elle poursuivait en lui lançant qu’il se permettait de la juger mais qu’au final il ne faisait pas plus confiance aux autres qu’elle. Oui que tout comme elle, il était fermé. A sa remarque, il baissa de nouveau son regard sur elle, toujours autant impassible qu’en accoutumé. La juger ? L’aurait-il fait ? Il n’en savait trop rien mais à ses yeux, résolument pas.

C’est donc dans un soupir qu’il lui fit comprendre son exaspération alors qu’il murmurait dans une voix ferme et peut être un peu gauche. « Tu te méprends à ce sujet. Je ne te juge pas, je ne fais que des constatations. Oui, comme tu le dis si fort bien, je ne fais pas confiance aux autres, c’est ainsi. Ce n’est pas une vérité, une constatation dont j’ai pleinement conscience. »

A ses mots, il inspira profondément alors qu’il ajoutait dans la même voix qui lui donnait l’impression d’être un moralisateur plus qu’autre chose, voir d’un mufle. « La différence fondamentale qui réside entre nous deux, c’est que je ne mens pas, je ne cherche nullement à trouver compagnie auprès ou dans les bras de qui que ce soit pour ne pas avoir l’impression d’être seul ou isolé de tous. Ce que je dis n’est point un jugement comme tu sembles bien le penser mais belle et bien une constatation, ni plus ni moins… Si tu ne veux pas entendre ce genre de vérités alors cesse tout simplement de venir à moi et de me poser des questions. Contrairement à d’autres, je suis assez maitre de moi-même pour entendre toute vérité me concernant… ce qui ne semble peut être pas être ton cas, il faut croire. »

L’hôpital qui se fout de la charité ? Possible. Vaniteux, irrespectueux et présomptueux ? Sans aucun doute. Le jeune homme avait bon nombre de défaut mais malheureusement ses qualités étaient très discrètes, quasi inexistante lorsqu’il n’était pas auprès d’une personne qu’il appréciait. Dans tous les cas, il la fixa de son regard pénétrant, aussi insensible qu’une statue. Il n’avait aucune idée de quelle allait être la réaction de la jeune femme et dans une certaine mesure, il ne mesurait pas non plus ô combien ses paroles pouvaient parfois être dures…
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MessageSujet: Re: Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee   Hatred would be the most violent, most exacerbated forms of love? | PV Son Joo Hee EmptyMer 25 Juil - 1:26

La conversation l’énervait, c’était une évidence même pour quiconque la connaissait. D’abord parce que c’était un terrain glissant où elle préférait ne pas s’aventurer, mais en prime, Yong Woon arrivait que trop bien à la faire sortir de ses limites et elle ne pouvait pas apprécier. Ce n’était pas dans ses habitudes après tout. Joo Hee n’avait peut-être pas le contrôle sur elle-même que le jeune homme avait sur lui, mais elle se débrouillait pas mal pour garder les choses pour elle. C’était la raison pour laquelle elle n’explosait pas en crainte ou en commentaire désobligeants, bon pour le deuxième point c’était un peu plus raté puisqu’elle en faisait assez souvent quand même. Pour ce qui était d’exploser - ce qui était vraiment au sens figuré de la chose, elle savait qu’elle n’en était pas loin, bien malgré elle qui plus est, mais elle ne pouvait pas faire grand chose pour améliorer la situation. Après tout, elle n’avait le contrôle de rien et Yong Woon tirait sur des cordes sensibles, peut-être ne s’en rendait-il même pas compte. Du moins, elle ne savait pas pas s’il faisait exprès de tirer sur ces cordes sensibles. À quelque part elle ne pouvait pas croire que ce soit le cas, mais d’un autre côté, c’était évident qu’elle ne supportait pas la conversation. Elle détestait se montrer aussi faible même si à quelque part, il l’avait déjà vu dans un état bien pire. Cela dit, elle n’était pas consciente de cette réalité et c’était nettement mieux comme ça, autrement elle aurait encore plus de mal à se retrouver en sa présence ou du moins contenir ses émotions. Heureusement, ce n’était pas le cas même si il y avait un doute certain quant à la possibilité que la situation s’améliore. Par conséquent, la demoiselle savait très bien qu’elle aurait du mal à ne pas se reprocher mentalement d’avoir été aussi faible devant lui. Leur petite compétition l’empêchait normalement de se laisser aller comme ça, mais visiblement, c’était plus fort qu’elle dans la situation.
Il fallait dire qu’en dehors des mots de Yong Woon, son esprit faisait le reste. Après tout, quand on lui parlait de sa vie sentimentale, elle ne pouvait pas s’empêcher de penser à Pyotr ce qui n’était résolument pas la plus brillante des idées. Elle ressentait tellement de regrets et de ressentiments à l’égard de ce jeune homme. Sauf qu’à quelque part, si ça avait été quelqu’un d’autre, elle aurait peut-être pu répondre plus durement et ne pas laisser transparaitre tous les sentiments. Du moins, c’était ce qu’elle aurait espéré, dans la présente situation c’était évident que c’était impossible. Elle n’était même pas capable de se dire ‘tant pis’ comme quoi ça passerait de toute façon. Elle se tirait au fond, n’étant pas capable de s’accrocher quelque part pour reprendre une certaine contenance. Ce n’était pas dans ses habitudes et elle le supportait assez mal. Il y avait aussi le fait qu’elle n’arrivait pas à savoir ce que pensait Yong Woon. Elle était généralement douée pour lire les gens ou du moins les comprendre d’une certaine manière. Ce qu’elle n’arrivait pas à faire avec lui. Si bien qu’elle ne savait jamais sur quel pied danser.

Pour l’instant elle se contentait de lui faire savoir qu’il ne la connaissait pas et qu’il ne devrait pas se permettre de la juger comme il le faisait. Parce que c’était comme ça qu’elle ressentait les choses. Elle n’était pas une grande amatrice de la vérité, surtout quand elle faisait mal. Certes, elle lui affirmait qu’elle ne vivait pas dans un mensonge, ce qui en soit n’était pas totalement vrai, puisqu’elle aurait nettement préféré que ce soit le cas si ça impliquait qu’elle se sentait mieux. Ce n’était pas nécessairement le cas au final, mais elle restait convaincue qu’elle ne sentait pas mieux en entendant la vérité que lui disait Yong Woon, parce que c’était ce qu’il affirmait lui dire. Elle ignora le soupir, bien qu’elle sentait l’exaspération qu’il trahissait et se concentra plus particulièrement sur ce qu’il disait : « Tu te méprends à ce sujet. Je ne te juge pas, je ne fais que des constatations. Oui, comme tu le dis si fort bien, je ne fais pas confiance aux autres, c’est ainsi. Ce n’est pas une vérité, une constatation dont j’ai pleinement conscience. » Bon il ne la jugeait pas ou du moins c’est ce qu’il affirmait, c’était bon à savoir, mais elle n’arrivait pas à voir les choses autrement en fait. Elle dut se retenir pour ironiser sur le fait que lui était conscient de la vérité. Lui qui était si parfait. Peut-être qu’elle finissait par se sentir inférieure à lui à ce moment précis, rien pour aider quoi. Après tout vu l’esprit de compétition qu’il y avait entre eux occasionnait peut-être cela. Elle espérait que non et que ce n’était que son impression de vulnérabilité du moment qui était amplifié par on ne savait trop quoi. Certes, le côté ‘parfait’ du jeune homme l’avait toujours énervé, même si elle était en constante compétition avec lui comme si cette perfection ne la dérangeait pas, même si bon ce n’était pas le cas. Joo Hee se disait simplement qu’il y avait forcément quelque chose d’autre que ça. La preuve de cette si belle théorie résidait dans sa capacité de métamorphomage. Après tout, c’était un point qu’il ne contrôlait pas, qui le rendait forcément imparfait. Elle jugeait simplement que c’était ce qui le liait à elle. C’était probablement plus complexe, mais bon, elle ne comptait pas enquêter en profondeur pour ça.

« La différence fondamentale qui réside entre nous deux, c’est que je ne mens pas, je ne cherche nullement à trouver compagnie auprès ou dans les bras de qui que ce soit pour ne pas avoir l’impression d’être seul ou isolé de tous. » Devait-elle vraiment lui expliqué ? Non, il devait bien s’en ficher de toute façon, mais ce n’était pas, il était plus ou moins loin du compte, mais il n’y était pas dans tous les cas. L’isolement c’était une chose horrible certes, généralement, personne ne le supportait complètement, mais ce n’était ce qui la terrifiait le plus. De toute façon, elle avait ce qu’on appelait une raison, ça ne justifiait pas tout, mais tout de même. « Contrairement à d’autres, je suis assez maitre de moi-même pour entendre toute vérité me concernant… ce qui ne semble peut être pas être ton cas, il faut croire. » Quoi ? Se sentait-il obligé de se montrer aussi vaniteux ? Un brin de colère monta en elle, sans pour autant faire partir les larmes qui menaçaient de couler sur ses joues d’un instant à l’autre. Elle ne savait toujours pas sur quel pied danser, mais elle ne put s’empêcher de s’exclamer : « Je suis contente de savoir que tu es aussi parfait, mais ce n’est pas mon cas alors. » Sa voix tremblait encore, malgré des propos un peu plus provocateur. Elle n’était toujours pas à l’aise et elle se sentait toujours à la limite d’exploser, mais au moins elle avait réussi à se montrer un peu moins agréable. Peut-être que sa situation s’améliorerait au final... « Puis, je n’ai pas peur d’être seule... » Et peut-être pas. Elle n’était pas très convaincante et ça elle le savait bien, mais pourtant, c’était la vérité. C’était l’abandon qui la terrifiait, mais elle ne voyait pas l’intérêt d’éclairer la lanterne de Yong Woon qui semblait si bien la connaitre. Elle soupira à nouveau, tentant en vain de reprendre contrôle d’elle-même et peut-être de la situation par la même occasion. Ça n’arriverait probablement pas, mais on pouvait toujours espérer. « Mais admettons que tu ne fasses que des constatations comme tu dis, tu le fais sans me connaitre, ne pense pas autrement. Tu ne sais rien de ma vie sentimentale, tu n’en vois que l’extérieur, de même qu’avec le reste. Alors arrête de te permettre de m’annoncer ma vérité comme ça, tu te fiche bien de ce qui m’arrive au final, du moment que ça n’affecte pas ta précieuse personne. » L’oscillement entre la colère et la sensation de mal-être ne donnait pas tellement un bon ménage. Encore une fois, malgré ses propos sa voix tremblait et ses yeux étaient mouillés. C’était pitoyable, elle se sentait terriblement pitoyable à dire tout ça, mais encore une fois, elle ne pouvait pas partir comme ça. Ce ne serait pas moins pitoyable au final alors bon.
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